26 février 2009

...que Clint Eastwood est idolâtré en France


Hier l'acteur et désormais réalisateur Clint Eastwood a reçu une Palme d'Or... "Un prix décerné mercredi soir "hors les murs" par Gilles Jacob et Thierry Frémaux, président et délégué général du festival de Cannes, qui aura lieu en mai en l'absence de l'acteur-réalisateur américain." (Lepoint.fr)

Les critiques pour son dernier film "Gran Torino" sont unanimes ici, et dithyrambiques.

Clint Eastwood, 78 ans (!!!), a une affection spéciale pour la France. "Les cinéastes français m'ont toujours soutenu tout au long du chemin. C'est le premier pays à avoir considéré le cinéma comme une forme d'art", a-t-il dit, se souvenant que la France avait été moins sceptique que l'Amérique lors de ses débuts de réalisateur."

C'est vrai que ses premiers films en tant que réalisateur se sont plutôt fait ramassé par le milieu cinématographique américain. Un grand classique: si tu es bon pour X, tu ne peux pas l'être pour Y.

J'ai vu Gran Torino et je n'ai pas particulièrement aimé ça. Son jeu est volontairement gros, mais trop à mon goût. Et l'histoire ne m'a pas touché non plus. Par contre, Bridges of Madison county, une de ses premières réalisation, est pour moi le top film d'amour. Une histoire toute simple mais d'une rare intensité. Réaliser un film dans lequel tu es aussi l'acteur principal m'impressionne à chaque fois. Ça c'est du talent, grave.

Clint Eastwood était une de mes vedettes préférée quand j'étais tout jeune, et il continue de susciter mon admiration par la polyvalence de son talent.

Saviez-vous que j'ai déjà moi aussi réalisé et joué dans des films? Massacre sanglant et S.T. d'extra-terrestre sont pour moi des grands classique inconnus. Un jour peut-être je les sortirai, si jamais je retrouve la boîte:))

1 commentaires :

  1. Anonyme a dit…

    Je suis aussi une grande fan de Clint Eastwood depuis toujours, il a été 1) un des hommes les plus beaux que j'ai vu (pas connu, malheureusement...) 2) la preuve qu'on peut dépasser toutes les étiquettes (je me souviens aussi des nombreux préjugés à ses débuts de réalisateur et même longtemps après) et 3) qu'on peut être créatif, actif, reconnu et admiré à 78 ans.